La création dans la diversité

Rencontre avec Gaël Octavia, BU du campus de Schoelcher mardi 26/2

La création artistique dans la diversité - Rencontre avec Gaël Octavia

La BU du campus de Schoelcher, en partenariat avec l'AMEL, a le plaisir de vous inviter, mardi 26 février, 18h, à une rencontre avec Gaël Octavia et son monde. Romancière inspirée et remarquée - La fin de Mame Baby, récompensé par le prix Wepler 2017, fut largement salué par la critique-, artiste plurielle, G. Octavia nous fera partager, à l'occasion de cet échange, ses autres passions créatrices et ses réalisations autour du cinéma, de l'écriture dramatique, de l'expression poétique, de la peinture et du dessin. Gaël Octavia, la création dans la diversité !

 

Entrée libre et gratuite, venez nombreux ! 

 

Sur le sujet...

 

  • Critical Stages/ Scènes critiques - webjournal, n°6, juin 2012

Congre et homard de Gaël Octavia : un exercice de haute-école

En définitive, ce spectacle paraît exemplaire parce qu’il réunit toutes les qualités que l'on attend du théâtre : 1/ un vrai texte, écrit pour le théâtre, utilisant de manière magistrale les procédés propres à cet art . 2/ des comédiens talentueux. 3/ une mise en scène rigoureuse et une scénographie qui ne trahit pas le texte sans chercher pour autant à l'illustrer servilement.

 

  • Diacritik - magazine culturel

Entretien avec Gaël Octavia: « s’appartenir à soi-même » (La fin de Mame Baby) , août 2017

 

  • Site de G. Octavia

Gaël Octavia. En mots et en images

 

  • CAIRN - revues en SHS (abonnés UA)

« Gaël Octavia : une écriture de femme antillaise qui a grandi au contact d'autres femmes antillaises », Africultures, vol. 80-81, no. 1, 2010

En ce qui me concerne, la forme (poésie, théâtre, roman, scénario) s’impose toujours d’elle-même, dès le début du processus d’écriture, selon ce que je désire raconter. Je ne m’interroge jamais, au moment de l’écriture, sur les raisons pour lesquelles tel sujet doit être traité sous telle forme plutôt qu’une autre. Il s’agit bien plus d’un ressenti que d’un choix conscient et réfléchi. Je peux cependant identifier ces raisons a posteriori.

Mette, Isabelle. « La France vue depuis les Antilles : si loin, si proche », Revue de la BNF, vol. 57, no. 2, 2018

Comme Flaubert pour Madame Bovary, tout citoyen antillais peut enfin s’écrier : « La France, c’est moi » ; il n’y a pas d’ailleurs : « Ils sont le sel de la Diversité. Ils ont dépassé les limites et les frontières, ils mélangent les langages, ils déménagent les langues, ils transbahutent, ils tombent dans la folie du monde, on les refoule et les exclut de la puissance du Territoire mais ils sont la Terre elle-même […] La littérature antillaise contemporaine est le reflet de cette prise de conscience : les textes d’auteurs comme Fabienne Kanor, Gaël Octavia (l’une née en métropole, l’autre à Fort-de-France) ou l’écrivain d’origine indienne Ernest Moutoussamy s’inscrivent dans le sillage de la « littérature-monde, littérature migrante qui s’affranchit des assignations territoriales pour redessiner librement les contours de son identité…

Soubrier, Virginie. « Une nouvelle Renaissance ? Les auteurs dramatiques postcoloniaux et l'héritage grec au tournant du XXIe siècle », Revue de littérature comparée, vol. 344, no. 4, 2012

Les écritures dramatiques postcoloniales, en ce début du XXIe siècle, ouvrent ainsi des chemins de pensée inédits. La nouvelle Renaissance qu’elles ont initiée invite à refuser les modèles imposés pour construire un véritable échange entre les cultures. Avec celle des humanistes du XVIe siècle, cette Renaissance contemporaine a en partage le souci de l’homme, le goût des autres et la soif de rompre avec une conception de la culture et de l’héritage qui a suffisamment montré ses limites.

 

  • Elibris - ouvrages en lignes (abonnés UA)

L'incertain. Revue littéraire, K. Editions, n°4, 2014. Contient une nouvelle de G. Octavia : "Le chien de Varkala".

 

  • OpenEdition - revues en SHS (libre accès)

Gaël Octavia, « M Pater familias », Coulisses [En ligne], 42 | Printemps 2011, mis en ligne le 30 novembre 2016

Récit théâtral inédit de Gaël Octavia. Un homme se trouve tiraillé entre son homosexualité et ses devoirs de père et de mari.

 

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